Il s’agit d’un texte écrit en sanskrit comprenant 5648 mots. Il est le texte le plus ancien ayant trait au hatha yoga. Composé au XVème siècle, il se divise en quatre chapitres, partant du corps pour atteindre l’esprit.
- 1) Le prathamopadessah évoque la pratique des asanas (postures physiques).
- 2) Le dvitiyopadesah développe la méthode du pranayama ou contrôle du souffle.
- 3) Le trtiyopadesah est relatif aux mudras (positions codifiées des mains).
- 4) Le caturthopadesha traite de l’état de samadhi (réalisation spirituelle).

La luxopuncture agit selon les principes de l’acupuncture mais n’utilise aucune aiguille. Elle stimule les points réflexes via un faisceau infra rouge alors que le corps est en état de détente. Efficace en cas de stress, cette méthode rétablit la libre circulation de l’énergie (ki) dans tout l’organisme en dénouant ses blocages et ses tensions, ainsi que l’équilibre hormonal. Tabagisme, surpoids, troubles du sommeil sont des symptômes pour lesquels la luxopuncture s’avère intéressante. Allongé sur une table de massage, le consultant guide le praticien en évoquant ce qu’il ressent. Cette technique régule la production d’endorphine (dite hormone du bien-être), de dopamine (dite hormone du désir) et de sérotonine (dite hormone du bonheur), agissant par voie de conséquence de façon bénéfique sur le psychisme.

C’est à l’initiative de Gabriel Bertrand, chercheur à l’Institut Pasteur, que le terme oligothérapie est employé pour la première fois. Nous sommes en 1894 lorsque ce scientifique démontre l’existence de minéraux jouant un rôle essentiel, même en quantité infime, dans le développement des végétaux et de tous les organismes vivants. À la suite des ses travaux s’est développée une médecine naturelle consistant à prévenir, voire à soigner, par l’administration d’oligo-éléments. Complémentaire de la médecine allopathique, l’oligothérapie permet d’intervenir en douceur afin de compenser un déficit ou une carence et d’obtenir un effet thérapeutique sur les maux quotidiens comme l’acné, les allergies, l’anxiété, les crampes, les états grippaux…

Les chakras sont des centres d’énergie situés le long de la colonne vertébrale et au niveau du crâne. Le yoga en privilégie 7 : à la base de la colonne vertébrale, entre le sexe et l’anus et au niveau du périnée, se trouve mooladhara, au niveau du coccyx swadhistan, à la hauteur du nombril manipura, dans la région du cœur anahata, au niveau de la gorge vishudi, entre les deux sourcils ajna, à l’arrière de la tête bindu, et sur le sommet du crâne sahasrara.

La méditation et la prière sont des concepts spirituels qui ne sont pas antinomiques. La différence repose sur la croyance en un Dieu personnel à qui l’on s’adresse (la prière) ou sur une introspection impersonnelle. Ainsi, sur le plan physique, certains seront plus à l’aise dans des positions ou gestuelles inspirées de leur pratique religieuse que dans les postures d’origine orientale. Par ailleurs, les prières et les chants peuvent être abordés comme des mantras. Il en est à l’identique pour le chapelet (japa mala pour les Indiens), utile pour fixer la concentration pendant la méditation.

La vie nous y pousse… fort heureusement : trop de soucis, d’angoisses, d’anxiété, nous oblige effectivement à lâcher prise. Cependant, avant que la coupe déborde, des solutions existent, avec – pour première sagesse – d’arrêter la mauvaise idée qui consiste à croire que l’on peut changer ses proches ou moins proches…