Nombre de célibataires et divorcés désespèrent de ne pas vivre la belle et grande histoire d’amour qui les rendrait, selon eux, enfin heureux et comblés. Sauf que le problème se situe ailleurs tout en étant très près. Charité bien ordonnée commençant par soi m’aime, il s’agit de ne pas attendre tout d’une relation et encore moins un bonheur absolu et sans nuage. L’idéalisation du couple constitue le premier obstacle. Tous les psys affirment que rencontrer le partenaire idéal ne peut advenir que de surcroît. De surcroît car il est indispensable d’avoir quelque chose à offrir plutôt qu’à quémander, voire exiger. Et ce que l’on a à offrir ne peut être que ce qui résulte d’une bonne entente avec la seule personne qui ne nous quittera jamais : soi !

Notre société semble être passée de la répression du sexe à une forme de nécessité de la jouissance. Or, assouvir ses fantasmes sexuels est loin d’être un critère de réelle liberté. On remarque au contraire que de plus en plus de personnes avouent être addicts au sexe. Les psys sont unanimes à transmettre que l’aventure de l’échangisme, si elle ne s’étaye pas sur un véritable choix personnel et sur une réelle communication au sein du couple, peut provoquer des dégâts. Certains jeunes hommes confient avoir du mal à vivre le fait que des jeunes filles, sous l’effet d’une véritable mode, s’expriment de manière très crue, utilisant volontiers un vocabulaire pornographique. Une volonté de rivaliser avec les garçons qui aboutit à l’inverse de l’union amoureuse…

Toutes les études effectuées sur le sujet sont unanimes : les rapports sexuels ont tendance à diminuer lorsque la durée de la relation augmente. Si, dans les premiers temps, le désir est synchrone, chacun a besoin de suivre son propre rythme au fil de la vie commune. Le danger consiste alors à penser que les codes de satisfaction de l’un doivent absolument coller à ceux de l’autre. Ainsi, le nombre d’étreintes par semaine ou par mois ne correspond pas automatiquement à une vie sexuelle épanouie. La qualité restant toujours plus importante que la quantité. Des soucis professionnels ou financiers peuvent momentanément rendre la rencontre des corps difficile. Inutile alors de bâtir des scénarios catastrophe de type « Il ou elle va me quitter car je n’inspire plus de désir ». Dans ces cas, le dialogue est toujours l’antidote, les reproches ne faisant que tuer l’amour. Avant que la situation ne s’enlise, il est important que chacun des membres du couple puisse évoquer le problème, sans toutefois en faire un sujet de discorde. Une baisse de libido momentanée de l’un des deux conjoints est justement l’occasion offerte de cimenter une union autrement que sur la seule satisfaction sexuelle, ce qui aura d’ailleurs paradoxalement pour effet de relancer un désir authentique…

> Le gingembre : il possède des vertus vasodilatatrices qui facilitent l’afflux de sang. Son odeur participe également à la montée du désir.
> L’avocat : appelé par les Aztèques « L’arbre à testicule », l’avocatier était interdit à la vente par les prêtres catholiques espagnols ! Le fruit est un excellent neurotransmetteur qui accroît les capacités sensorielles.
> Le chocolat noir : sa teneur en dopamine accentuant l’effet de plaisir, le chocolat noir est aussi à la base de la fameuse adrénaline, cette hormone qui augmente la pression sanguine.
> Le ginseng : dopant l’amour, le ginseng est une plante vivace qui stimule le système nerveux.

Il s’agit d’une méthode de contraception masculine efficace et définitive. L’opération consiste à couper et bloquer les canaux déférents qui transportent les spermatozoïdes à partir des testicules. Pratiquée sous anesthésie locale, ou sous anesthésie générale selon le choix du patient, elle n’est pas conseillée aux hommes qui ne sont pas sûrs de leur décision. Il faut savoir, en outre, qu’elle n’offre aucun moyen de protection contre les maladies sexuellement transmissibles.

Une relation amoureuse, pour qu’elle reste épanouissante, se fonde de façon incontournable sur une confiance mutuelle. Pour autant, il n’est pas utile de tout dire à son partenaire sous peine de finir par ressentir une certaine aliénation. Ainsi avez-vous le droit de trouver votre collègue de bureau charmant(e), sans que cela entraîne un désir de transgression. Il s’agit de votre jardin secret. Se croire obligé d’en parler peut au contraire déclencher un très mauvais imaginaire dans l’esprit de votre conjoint(e). Toute vérité n’est pas bonne à dire prévient le proverbe. La remarque peut parfois s’appliquer dans le cas extrême d’une aventure extraconjugale sans lendemain, à condition bien sûr que le fait ne devienne pas récurrent. À l’inverse, lorsque le pot aux roses est découvert et que des explications sont réclamées, l’erreur grossière consisterait à nier. Tout dire ? Pas toujours ! Mais se défiler… jamais !

Si l’amour peut rendre fou, toujours est-il que nous rêvons tous de vivre pleinement ce sentiment tout aussi exceptionnel qu’ambivalent ! Il faut dire que nous avons quelques circonstances atténuantes face à nos passions amoureuses : dès notre naissance, l’amour a auréolé notre démarrage dans l’existence. Et même si nous n’étions pas vraiment désirés par nos parents, les pulsions psychosexuelles étaient déjà au rendez-vous ! Ainsi, téter le sein ou suçoter la tétine du biberon nous apportait déjà de quoi faire une première expérience du plaisir. Et de cette jolie mémoire-là, nous ne guérissons jamais… Tout comme nous ne venons pas plus à bout de la recherche d’une sorte de double que nous fantasmons avoir perdu en poussant notre premier cri. Toutefois, l’amour nous offre malgré tout aussi de belles interrogations, de subtiles réponses. Finalement du pur bonheur…