Le vaginisme définit un trouble physiologique d’origine psychosomatique qui empêche l’intromission du pénis pendant l’acte sexuel, à la suite d’une contraction spasmodique des muscles péri-vaginaux. Il peut se traiter par la sexothérapie, la psychothérapie ou encore en suivant une cure psychanalytique.

Selon une étude menée en 2004, l’asexualité concernerait 1 % de la population et se définit comme l’absence d’attirance sexuelle pour une autre personne. Ce trouble du désir sexuel n’est pas à confondre avec l’abstinence sexuelle motivée par une croyance religieuse. Certains asexuels revendiquent leur état, affirmant ne pas en souffrir et se regroupent sur des sites et des réseaux sociaux.

L’origine de la Saint Valentin (traditionnellement fêtée le 14 février par les amoureux) se perd dans les méandres de l’histoire et de la légende. Mais selon une croyance médiévale, le 14 février serait le jour où les oiseaux recommencent à s’accoupler. Quant à Saint Valentin, il s’agit d’un martyr chrétien du IIIème siècle qui continuait à célébrer des mariages malgré l’interdiction de l’empereur Claude II qui pensait que cette union empêchait le recrutement des hommes pour ses légions, ce qui rappelle un slogan assez récent : « Faites l’amour et pas la guerre ! »…

Ériger des critères quantitatifs et normatifs en matière de sexualité épanouie relève du leurre puisque la sexualité, outre sa fonction de procréation, relève du plaisir et non d’un besoin vital. Ainsi, s’interdire le plaisir sexuel peut être aussi nocif que se l’autoriser de façon débridée. Si le souffle de liberté des années 1970 a largement contribué à dépasser les tabous erronés liés à l’acte sexuel, en lui ôtant notamment sa connotation honteuse, on assiste aujourd’hui à une situation paradoxale. Des couples ne répondant pas aux statistiques véhiculées par certains médias, quant à des pratiques sexuelles spécifiques, ont l’impression de ne pas entrer dans la norme. C’est oublier que la relation sexuelle ne se limite pas à la performance. Ainsi, une sexualité s’épanouit de plus en plus quand les amants communiquent corps et âme, c’est-à-dire lorsque l’étreinte amoureuse n’est plus considérée comme un examen à réussir mais devient l’occasion de s’abandonner l’un à l’autre pour atteindre ensemble des sommets. D’ailleurs, le mot étreinte, à un accent près, n’est-il pas l’anagramme d’éternité ?

Également appelé fin’amor, l’amour courtois constitue un véritable code du comportement amoureux dont l’origine est moyenâgeuse. Il s’agissait pour les chevaliers de cultiver le désir pour une dame inaccessible. L’amour est idéalisé, voire spiritualisé. On retrouve cette forme d’amour dans la légende du Graal, histoire qui relate la relation entre Lancelot et Guenièvre, épouse du roi Arthur, mais aussi celle de Tristan et Iseult.

Le miracle de la vie n’a pas fini de fasciner les scientifiques. En effet, le succès d’un œuf fécondé dépend d’une quantité optimale de ressources investies. Lors d’une éjaculation, un seul spermatozoïde, sur 200 millions de candidats, est sélectionné pour fusionner avec l’ovule et constituer un zygote, œuf doté de deux jeux de chromosomes. À partir de là, un embryon se développe grâce au processus de divisions cellulaires appelées mytoses.

Discipline développée à partir des années 1950, suite aux travaux de Masters et Johnson, la sexologie prend pour objet l’étude de la sexualité dans ses dimensions biologique et psychologique mais aborde également son aspect éthique, juridique et socioculturel.