Une nouvelle forme de pollution sensibilise les utilisateurs des nouvelles technologies, pourtant incontournables. Ainsi le mot « électrosmog » a-t-il vu le jour, comportant le terme « smog », contraction de l’anglais « smoke » (« fumée ») et « fog » (« brouillard »). Il désigne les champs électriques et magnétiques créés de façon artificielle.
Le progrès a, comme toujours, ses effets indésirables. Généré par tous les types d’émetteur et de relais en lien avec la radio, la télévision, la téléphonie, l’informatique, ce nuage polluant, bien qu’invisible, est à prendre en compte car l’électrosmog vient perturber nos propres ondes magnétiques naturelles pour devenir vecteur de dysharmonie. Le fonctionnement même de nos cellules peut en être affecté. On sait maintenant que certaines céphalées, une fatigue inexpliquée, des sautes d’humeur, sont entretenues, voire causées par une exposition quotidienne à la pollution électromagnétique. La société moderne permet toutefois d’éviter ces désagréments…
Des principes de précaution simples
Au niveau de l’habitat, des attitudes élémentaires contribuent à limiter les dégâts de façon significative :
- Éviter de placer le réveil-matin trop près de la tête, c’est-à-dire en respectant une distance d’au moins 50 cm.
- Ne pas faire courir des câbles électriques sous le lit.
- Préférer éteindre les appareils plutôt que de les laisser sur le mode
veille ou
stand-by.
- Établir une pause toutes les deux heures en cas d’utilisation de l’ordinateur pendant de longues périodes.
- Avoir recours aux oreillettes pour les communications longues avec un portable.
Des produits protecteurs
De nombreux fabricants sensibilisés aux problèmes écologiques se sont penchés sur la question et ont mis au point des produits peu onéreux mais très efficaces. Ainsi, il est possible d’annuler les ondes du système Wifi – aussi agressif qu’une antenne relais mobile lorsque la pièce de la maison est peu spacieuse – en plaçant un moduleur sur l’émetteur. Son coût : moins de 80 euros. Idem pour neutraliser les ondes de l’écran plat de télévision ou d’ordinateur (moins de 40 euros). Encore plus performant, le concept de dynamisation bioénergétique par les céramiques. Posé à même le départ de la ligne électrique, sur le disjoncteur ou le compteur, ce moduleur bio-fréquentiel met en biocompatibilité électrique tout le circuit de l’habitation. Cette installation possède l’appréciable avantage de se protéger contre les agressions venues de l’extérieur de l’habitat (lignes à haute tension par exemple).
L’apport de la lithothérapie
Certaines pierres possèdent des vertus subtiles au point que la lithothérapie est devenue une discipline fort appréciée. Il se trouve qu’elle propose des solutions naturelles pour prendre soin de soi. Se procurer l’un ou plusieurs de ces minéraux et les disposer dans la maison constitue une protection de plus :
> L’amazonite : aux couleurs allant du bleu verdâtre au bleu turquoise, elle doit son nom au fleuve Amazone, lieu de sa première découverte et se révèle particulièrement adaptée pour lutter contre les ondes nocives des portables.
> L’ambre : selon la tradition, elle condense et décharge les énergies négatives de ceux qui la portent en amulette. Reynald Georges Boshiero, auteur du « Dictionnaire de la lithothérapie », publié chez Ambre Éditions, confirme qu’elle possède
d’excellentes propriétés électromagnétiques qui renforcent les flux électriques du système nerveux. Ce qui en fait un minéral éminemment protecteur quant aux effets indésirables de l’électrosmog.
> L’améthyste : surtout utilisée contre les addictions (alcool, tabac, drogues), placée dans une pièce, elle procure détente et paix et apaise les angoisses. Les lithothérapeutes conseillent même de disposer quelques améthystes dans son oreiller pour éliminer les cauchemars et éclaircir les rêves. Transformant le négatif en positif, elle est bénéfique lors de symptômes migraineux liés à la pollution électromagnétique.
Gilles Durant