Le point de vue
de Signes & sens
La mémoire,
l’atout réussite
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Lorsque l’inconscient nous fait oublier un nom, nous paniquons ! Pourtant, il s’agit d’un processus psychique
courant dans la mesure où le refoulement
opère dès qu’un lien négatif est touché. Affecté, le
psychisme se défend et cette réaction aux traces
mnésiques prouve justement que nous avons encore «notre» mémoire. Certes, en vieillissant, ce capital
s’amoindrit. Et ça aussi, c’est… normal ! Pas question
pour autant de devenir fataliste. Aujourd’hui, les
sciences déclinent la mémoire selon quatre grands
axes: la mémoire épisodique, la mémoire procédurale,
la mémoire sémantique et la mémoire de travail.
Cette mémoire est connue aussi sous
l’appellation « mémoire à court terme ». Comme
cette expression l’indique, il s’agit de stocker et de
retenir maintenant des informations qui vont être utilisées
quasi immédiatement : pour exemple, mémoriser
quelques instants une adresse lue pour la
retranscrire sur un courrier dans 20 secondes. Les
trois autres formes de mémoire reposent, quant à elles, sur une durée de rétention beaucoup plus
longue, voire illimitée en l’absence de déficience cérébrale
: pensons ici aux tables de multiplication ou
aux règles d’orthographe
bien maintenues dans les
méandres du cerveau depuis
parfois des décennies… En revanche,
indépendamment d’un entretien
neuronal quotidien
(lectures, mots-croisés etc),
la phytothérapie favorise – à l’aide de plantes sélectionnées – le maintien,
voire l’amélioration du registre des souvenirs proches ou plus lointains. Ainsi le ginko, le ginseng
et le soja participent-ils au bon état des facultés intellectuelles.
Sans « oublier » un avantage de poids :
confier ses neurones aux plantes ne présente aucun
risque pour la santé…