Pour découvrir la réponse qui vous correspond, répondez spontanément au questionnaire ci-dessous. Cochez la case en accord avec votre sensibilité. Après vous être reporté(e) au tableau placé après ce questionnaire, comptabilisez les croix, puis découvrez votre bilan situé sous le tableau...
1 – La complicité, c’est
□ A. Idéal
□ B. Convivial
□ C. Normal
2 – En voyage, vous recherchez
□ A. Le confort
□ B. Le quotidien
□ C. L’âme-sœur
3 – Les connaissances
□ A. Vous en usez
□ B. Vous en abusez
□ C. Vous en avez
4 – Quand vous déménagez
□ A. C’est toujours pour plus grand
□ B. C’est jamais pour plus petit
□ C. C’est enfin pour mieux
5 – On vous offre un livre
□ A. Vous le dévorez
□ B. Vous le délaissez
□ C. Vous le rangez
6 – Vous redoutez
□ A. Les araignées
□ B. Le bruit
□ C. L’alcool
7 – Au cinéma
□ A. Vous rêvez
□ B. Vous dormez
□ C. Vous parlez
8 – La loi
□ A. Bien
□ B. Mal
□ C. Pouvoir
9 – Il pleut
□ A. Tant mieux !
□ B. Ah, non !
□ C. Encore !
10 – L’amour de votre vie
□ A. Sensuel
□ B. Généreux
□ C. Adaptable
11 – Votre plat préféré
□ A. Vous l’imposez
□ B. Vous le suggérez
□ C. Vous le concoctez
12 – Vous êtes plutôt
□ A. Solution
□ B. Acceptation
□ C. Compréhension
13 – Le sport
□ A. Sûrement pas
□ B. Franchement, non
□ C. Curieusement, oui
14 – Vous prenez l’avion
□ A. Pour gagner du temps
□ B. Pour vaincre le temps
□ C. Pour être dans le temps
15 – Votre meilleur ami se marie
□ A. Il faut lui faire un cadeau
□ B. Il faut lui conseiller une conduite
□ C. Il faut lui tourner le dos
16 – Faire du bénévolat
□ A. Pour gagner son paradis
□ B. Pour séduire l’autre
□ C. Pour s’occuper
17 – On vous met à l’index
□ A. Pourquoi ?
□ B. Qui ?
□ C. Comment ?
18 – En panne de téléviseur
□ A. Au secours !
□ B. Au lit !
□ C. Au boulot !
19 – Pour combattre le stress
□ A. Jouer au Loto
□ B. Rivaliser avec le boss
□ C. Fumer un joint
20 – Liquider tout conflit
□ A. Moi, on ne me connaît pas !
□ B. Moi, on ne soupèse pas !
□ C. Moi, on ne me cherche pas !
21 – La non-violence comme
□ A. Mère Theresa
□ B. Richard Gere
□ C. L’abbé Pierre
22 – Vivre d’humour pour
□ A. La vie
□ B. La suite
□ C. La galerie
De 22 à 25 points
Vous êtes introverti(e)
Introverti(e), certes vous l’êtes mais vous avez pour devise de pécher plutôt par défaut que par excès. Et si vous avez tendance à ne pas lever le doigt alors que vous connaissez la réponse, c’est plus par souci de précision que par passivité maladive. Votre vie intérieure est riche car en bon adepte des méthodes de développement personnel, vous avez choisi, depuis déjà bien longtemps maintenant, de ne plus entendre la plainte
victimisante de l’autre, récupérant ainsi une énergie salvatrice. Toute cette énergie
engrammée vous permet un recentrage sur vous intéressant qui vous fait voyager au cœur de l’Être et découvrir des écrits philosophiques, ontologiques, analytiques qui font de vous une épaule fiable si vous jugez la demande justifiée. Il est certain qu’à trop regarder l’état de votre cœur, vous pouvez aussi présenter l’inconvénient de banaliser les émotions de votre entourage et vos propos peuvent apparaître maladroits. Votre réflexion n’est pas toujours comprise et vous pouvez attirer à votre tour des réactions virulentes qui vous conseillent de consulter un psy ! Sans vous départir de votre flegme, vous osez alors signifier que vous connaissez l’œuvre de Mâ Ananda Moyi, l’intégrale du Dalaï Lama, les Écritures sur le bout des doigts et toutes les subtilités freudiennes mais, paradoxalement, votre défense reste, dans l’ensemble, superficielle. Effectivement, vous avez du mal à vous poser des limites intérieures et tout choix reste problématique. Apprenez à parler de vous dans le sens de vos émotions afin d’entendre votre propre demande pour réaliser vos vrais besoins. Et même si cette explication de soi passe obligatoirement par des renoncements, le principe vous séduira rapidement dans la mesure où il permet véritablement d’entrer en relation avec l’autre et de bien communiquer. Intérioriser vos sentiments à l’excès a un coût et finit par traduire un narcissisme un peu pathologique. Entendez par-là que si la psychanalyse considère que l’interlocuteur en demande doit solliciter l’intervention d’un tiers, il ne s’agit pas non plus de mettre en place une distance qui peut, si l’on n’y prend garde, s’apparenter à du mépris. Alors, bousculez-vous un peu, sortez de votre mutisme, transmettez vos acquis à bon escient, en deux mots, changez de conduite ! Optez pour le meilleur des fonctionnements : relativisez les écrits spirituels que vous dévorez, dédramatisez le contenu des conférences auxquelles vous assistez, adaptez les messages des séminaires auxquels vous assistez ; autrement dit et vous l’avez compris, faites-vous une idée par vous-même des êtres et des choses. C’est ainsi que, ne ressassant plus les théories à la ronde, vous ne serez plus le centre de vos préoccupations et que vous saurez progressivement vivre avec les autres car, encore une fois, attention : une « bonne » conduite peut toujours en cacher une autre.
De 26 à 42 points
Vous êtes extraverti(e)
Extraverti(e) ! Oui, oui, oui ! Ça rime, mais à quoi au fait ? D’autant que votre logorrhée légendaire apporte une réponse décevante, ce qui est dommage car on fait souvent, malgré tout, appel à vous : lors de repas ennuyeux, lors d’un coup de blues, lors de la première de Médée… Mais on oubliera de vous inviter si la bonne humeur est au rendez-vous. On vous évite pour les « bons coups » car là, vous pouvez faire de l’ombre. Vous le savez d’ailleurs mais incorrigible, vous n’en avez cure. Et puisque vous êtes utilisé(e), vous êtes critiqué(e) ! Je ne vous apprends rien de nouveau ici mais pourquoi diantre donnez-vous systématiquement ce qu’il y a dans la coupe et… ce qui déborde ? Vous vous épuisez à ce jeu, vous finissez par être la cible de projections variées et vous compulsez dans ce registre éreintant. Il faut dire que sollicité(e) comme vous l’êtes, il ne vous reste plus beaucoup de temps pour vous interroger mais si vous avez eu envie de faire ce psy-test, il faut croire que vous avez décidé de changer. Il est certain qu’à force d’être confronté(e) au jeu des autres, vous avez enfin quelques velléités de compréhension. En premier lieu, ne cherchez cependant pas à vous débarrasser radicalement de votre propension à accepter toute proposition sans discernement, ni recul car, il faut l’admettre, vous êtes toujours prêt(e) à jouer « les bouche-trous », les humoristes, les médiateurs, les entremetteurs et on vous aime et vous recherche pour tout cela. Votre rôle est trop beau pour que vous vous en sépariez et vous fréquentez tellement de monde que le fait d’être ignoré(e), délaissé(e) ou oublié(e), de ceux-là même que vous avez aidés en d’autres temps, ne vous gêne manifestement pas… Alors, où se situe le problème au point que vous ayez pris, aujourd’hui, votre stylo (un « Mont Blanc », bien sûr !) pour comptabiliser vos réactions inconscientes ? Certes, vous avez beaucoup marché (dans des combines) mais il est grand temps d’éliminer… Vous venez de réaliser que vos affaires de cœur, de corps et d’argent en souffrent quelque peu. Manquant de sommeil, en raison (ou plutôt à cause) de toutes ces soirées où vous êtes convié(e) par intérêt, votre travail s’en ressent et vos objectifs, loin d’être atteints, se volatilisent. Votre partenaire vous quitte systématiquement ne supportant plus de vivre dans votre sillon, au milieu de « vos » amis, dans un tourbillon de réceptions en tout genre ou attendant que vous en finissiez de ne jamais en finir au téléphone ; d’ailleurs, votre portable ne connaît de répit ni le jour, ni la nuit. Vous délaissez allègrement vos comptes, d’autant qu’invité(e) comme vous l’êtes, vous rendez aussi toutes les invitations… Je passe sur les histoires de budget fringues car quand on aime séduire, un train de vie certain s’impose. Votre existence se traduit en allers et retours récurrents qui finissent par fabriquer des malentendus et c’est ainsi que vous êtes devenu sourd(e) à vous-même et, notamment, à vos besoins. Vous vous sentez petit à petit plus opprimé(e), plus angoissé(e), alors levez le pied et choisissez de guérir de votre peur de la solitude. Respectez-vous en apprenant à refuser aux autres, frustrez-vous au quotidien afin de vous confronter à vous-même pour enfin pouvoir identifier vos réels besoins. Ne craignez pas d’étonner votre entourage qui apprendra à vous privilégier car notre fonctionnement inconscient fait que nous apprécions ce qui n’est pas systématiquement à disposition. C’est ainsi que vous vous sentirez aimé(e) non pour ce que vous représentez mais pour ce que vous êtes. Apprendre à dire
non se révèle une pratique de vie efficace et salvatrice. À vous de l’expérimenter et d’en juger.
De 43 à 66 points
Vous êtes libéré(e)
Libéré(e), assurément vous y êtes arrivé(e) mais vous le méritez car, sur cet axe, vous avez beaucoup travaillé. L’art de vous exprimer, à tous les sens du terme, répond à votre vraie nature mais aussi bien professionnellement qu’affectivement, que sexuellement, qu’amicalement. Réconcilié(e) avec vous-même, vous expérimentez chaque jour les bienfaits de l’harmonisation des règles de vie. Si hier encore, vous vous sentiez coupable (souvent de tout), vous avez intégré que « l’autre agresseur » peut exister et que vous n’êtes pas à l’origine de tout dysfonctionnement. Pour vous, le soma est devenu synonyme de santé et non plus de maladie car, là aussi, vous pouviez, autrefois, vous fourvoyer dans des sphères masochiques qui engendraient bien des misères. Vous vous autorisez maintenant le plaisir d’exister car vous ne vous arrêtez plus aux interdits qui interdisent. Mature, vous savez que vos évaluations sont justes. Votre agressivité est devenue de la combativité qui s’exprime surtout au plan social mais vous n’en retirez aucun pouvoir. Votre grande capacité à travailler ne s’apparente pas à une fonction compensatoire, d’autant que vous avez liquidé votre complexe d’infériorité. En accord avec vos désirs que vous nommez, vous êtes branché(e) solution et non plus problème. Fervent défenseur de la pensée positive, vous en faites bon usage et si certains membres de votre entourage peuvent opposer un sadisme démoniaque, vous cherchez toujours à retirer le sens, positif pour vous mais c’est alors un pléonasme ! Votre vocabulaire ne véhicule plus les termes de vide, de manque, de perte et votre abondance énergétique alimente, de façon équilibrée, les lieux d’humanisation que vous pouvez élire. Très adaptable, vous n’en êtes pas pour autant un « béni-oui-oui » et vous savez prendre position. Quant à vos engagements engagés, s’ils peuvent vous faire éprouver de la déception, ils n’entraîneront jamais l’abandon, ni la démotivation. Sérieux(se) lorsque la situation le requiert, votre compagnie se révèle sympathique si le ton est à la convivialité. Et si vous retroussez les manches le cas échéant, la cause reste toujours noble. Rien, dans votre vie, ne s’acoquine avec de la compromission et vous ne vous laissez jamais pervertir. Et si vous croyez aux vraies valeurs, la morale moralisatrice vous laisse indifférent(e) car vous abandonnez aux complaisants le soin de s’enliser dans des sphères dogmatisantes pour qu’ils puissent expérimenter les limites limitatrices ou inhibitrices. Vous ne faites pas de concessions face aux dérives d’une société inscrite dans un « faites ce que je vous dis et non pas ce que je fais » puisque vous respectez vos convictions intimes. En résumé, vos qualités (les bonnes) ne sont jamais que le miroir de vos défauts, dès lors sublimés. Inscrit(e) dans un principe de réalité et conscient(e) que « tout le monde il est pas beau, tout le monde il est pas gentil », vous vous protégez. On ne trouve aucune ambivalence en vous et vous fréquenter reste un grand privilège : vous ne cherchez pas à dominer, d’aucune façon que ce soit, vous n’humiliez pas, vous ne vous vautrez pas, vous ne vous vantez pas. Félicitations à votre
psy si vous en avez un ou alors, tout simplement, mes félicitations…