|
Les jeux et psy-tests
de Signes & sens
Êtes-vous votre meilleur ami ?
|
On n'est jamais si bien servi que par soi-même, dit-on… Et en matière de bienveillance vis-à-vis de sa propre personne, le dicton prend toute sa raison d'être. Toutefois, il s'avère extrêmement difficile d'identifier si notre meilleur ami est véritablement nous-même.
Si vous éprouvez le désir d'en savoir davantage sur la qualité du lien qui vous unit à votre ego, faites ce psy-test que Chantal Calatayud, psychanalyste, vous propose : répondez au questionnaire ci-dessous en cochant vos réponses, comptabilisez-les et reportez-vous après ce questionnaire pour découvrir votre bilan… |
> La complicité quoi qu’il arrive |
Oui |
Non |
> Protéger son intimité |
Oui |
Non |
> La Connaissance mieux que les connaissances |
Oui |
Non |
> Être spectateur de sa vie |
Oui |
Non |
> La familiarité |
Oui |
Non |
> Avoir un confident |
Oui |
Non |
> Se tailler la part du lion |
Oui |
Non |
> La réciprocité |
Oui |
Non |
> Un(e) ami(e) d’enfance |
Oui |
Non |
> Prendre de la hauteur |
Oui |
Non |
+ de non
Votre meilleur ami n'est pas vous-même ! Je ne pense pas que vous en soyez étonné car vous avez une grande propension à vous préoccuper de votre entourage, qu'il soit sentimental, familial, amical ou professionnel ! Vous avez pris la mauvaise habitude de vous oublier. Cependant, vous commencez à en souffrir et à être prêt à revoir votre copie… Un bon début certes mais qui devra être suivi de vraies et de solides résolutions pour que votre santé ne finisse pas par pâtir des négligences que vous imposez à votre être…
Autant de oui que de non
Votre bilan atteste que vous êtes sur le bon chemin. Vous hésitez encore à vous accorder l'importance que vous méritez mais vos hésitations se raréfient… Vos progrès sont dus au fait que vous avez saisi que vous occuper de vous ne nuit en aucune manière à votre entourage qui apprécie même plutôt que vous lui reconnaissiez une belle autonomie.
+ de oui
Pas facile de réaliser un score tel que le vôtre ! Mais vous vous êtes donné la peine d'en arriver là… Vos écueils, vos déceptions quant à ce que vous dispensiez largement tous azimuts, ont eu raison de vos courageux élans qui consistaient à vouloir sauver jusqu'aux plus rebelles ou aux plus récalcitrants. Un matin, vous vous êtes réveillé en décidant de mettre un stop à cette frénésie altruiste pour enfin vous sentir vivre et exister. Vous en avez même pleuré… Mais aujourd'hui, convaincu qu'il s'agissait d'une sage conclusion à vous imposer, vous réalisez qu'il faut d'abord développer une amitié avec soi pour mettre une distance intelligente avec tout alter ego. Pour le bien de chacun.
|